![]() Crédit: Michel Pineault Crédit: Michel Pineault |
Québec, le 27 novembre 2024 – Une collaboration exceptionnelle entre Oktoecho et l’Orchestre symphonique de Québec promet une soirée mémorable le 4 décembre 2024 à 20h à la Salle Louis-Fréchette du Grand Théâtre de Québec. Entre traditions orientales et chefs-d’œuvre occidentaux, le concert intitulé Le Concerto pour violon de Tchaïkovski réunit des artistes d’exception et célèbre la diversité musicale à travers des œuvres captivantes. Sous la direction du chef Clemens Schuldt, les solistes d’Oktoecho – Anouar Barrada (chant soufi), Didem Başar (kanun) et Adam Barrada (derviche tourneur) – contribueront à la dimension mystique de l’œuvre Ainsi chantait Simorgh de Katia Makdissi-Warren. Cette pièce s’inspire du texte spirituel La Conférence des Oiseaux, écrit au XIIe siècle par le poète persan Farid ud-Din Attar. Le titre de l’œuvre, évoquant le légendaire oiseau Simorgh d’Attar, fait écho à la quête mystique explorée dans l’emblématique Ainsi parlait Zarathoustra de Strauss, également au programme de ce concert. Cette soirée exceptionnelle mettra également à l’honneur Vadim Gluzman, violoniste israélien de renommée internationale, dans le légendaire Concerto pour violon de Tchaïkovski. Cette année marque le centenaire de la disparition de Joseph Vézina fondateur de l’Orchestre, qui interprètera sa valse La Brise, qui a contribué à sa victoire au concours musical Lord Grey en 1907. Un hommage spécial sera rendu par Clemens Schuldt et Vadim Gluzman lors de l’après-concert. Katia Makdissi-Warren, compositrice en résidence L’Orchestre est fier d’accueillir la libano-québécoise Katia Makdissi-Warren, lauréate du titre de Compositrice de l’année aux prix Opus, comme compositrice en résidence pour la saison 2024-2025. Son œuvre Ainsi chantait Simorgh, inspirée par la musique soufie, ouvrira la soirée du 4 décembre. Katia nous invite à découvrir des sonorités inédites, transformant la musique en un langage universel et rassembleur. Sa résidence culminera en avril 2025 lors du Festival Beethoven, où elle composera une œuvre inédite en collaboration avec le groupe pow-wow Eya-Hey Nakoda, unissant traditions autochtones et musique classique. Une nouvelle parution à découvrir : l’album Musique de film, théâtre, danse de Katia Makdissi-Warren En plus de ses nombreux projets avec Oktoecho, Katia Makdissi-Warren a composé des trames sonores pour des films, des œuvres théâtrales et des installations artistiques, notamment pour l’Aquarium de Singapour et la tour Burj Khalifa à Dubaï. Ces créations marquantes seront réunies dans son nouvel album, Musique de film, théâtre, danse, dont la sortie est prévue le 29 novembre 2024. Cet opus met en lumière son talent unique pour fusionner musiques traditionnelles et contemporaines, offrant une expérience sonore riche et captivante. Le Concerto pour violon de Tchaïkovski4 décembre 2024 à 20h Grand Théâtre de Québec – Salle Louis-Fréchette269 Boulevard René-Lévesque Est, Québec, QC Billetterie : www.osq.org Pour plus d’informations sur Oktoecho et pour consulter l’ensemble de leur calendrier de concerts, veuillez visiter www.oktoecho.com. Oktoecho tient à exprimer sa gratitude envers le Conseil des arts et des lettres du Québec, le Conseil des arts du Canada, le Conseil des arts de Montréal, ainsi que ces précieux partenaires : Présence Autochtone, la Maison de la Culture Ahuntsic, Amplitude, InTempo, Musique et les Amis de la culture Ahuntsic. À propos d’Oktoecho :Fondé en 2001, Oktoecho est en résidence à la Maison de la Culture Ahuntsic depuis 2010. Sous la direction artistique de la compositrice Katia Makdissi-Warren et des codirectrices Lydia Etok (volet inuit), et Nina Segalowitz (volet autochtone (Premières Nations et inuit)). Oktoecho crée des œuvres québécoises originales nourries de la rencontre entre les musiques de l’Occident, du Moyen-Orient et Autochtones. Il incarne un monde dont la fusion des différentes traditions transcende les frontières au visage même du Québec. (André Bouchard: albp@sympatico.ca) (Coll.: France Gaignard) |

Crédit: Michel Pineault Crédit: Michel Pineault